Editorial
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- Écrit par raph
Aussi vive aujourd’hui qu’hier, la question du psalmiste brûle au cœur de tout homme. Santé, plaisirs, richesse, honneurs, est-ce là le bonheur ? Une douce chanson me revient qui vantait un bien autrement plus précieux : « On peut vivre sans richesse, presque sans le sou… oui mais vivre sans tendresse, on ne le pourrait pas, non, non, non, non, on ne le pourrait pas ». La tendresse, on l’imagine entre époux heureux de vieillir ensemble, entre parents et enfants dans une famille qui s’aime… Mais si, époux séparé ou divorcé, l’on vit seul, privé de l’amour conjugal, dans une famille qui semble éclatée à jamais, le bonheur n’est-il plus qu’un rêve inaccessible ?
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